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Saiga: Drole d'Antilope
24/11/2009 17:02
Le saïga, seule antilope européenne, occupait autrefois les mêmes régions montagneuses que les chamois. On ne le trouve plus guère que dans les steppes sèches et déserts semi-arides de l' Asie centrale. Cet animal est reconnaissable à son nez très arqué descendant sur la bouche et donnant l'aspect d'une trompe. « Saïga » est un mot russe qui veut dire « antilope ».
- longueur du corps : 108 à 146 cm
- longueur des cornes : environ 30 cm
- hauteur au garrot : 60 à 80 cm
- poids adulte : 21 à 51 kg
Les cornes, relativement droites en vue latérale, dessinent un léger S en vue frontale ; elles sont annelées. Seul le mâle en est pourvu. La fourrure est blond roux à miel à la belle saison, blanche en hiver.
- maturité sexuelle : 8 mois pour les femelles, 20 mois pour les mâles
- la durée de la période d'accouplement est très courte : 2 semaines tout juste
- gestation : 140 jours
- nombre de jeunes / portée : 2 petits naissant au mois de mai environ
- nombre de portées / an : 1
- longévité : on détermine l'âge d'un mâle à la taille de ses cornes, 7 à 10 cm à 1 an, puis la courbe commence vers 2 ans
- vitesse maximum : 60 à 80 km/h
Originaire de d'Asie Centrale, le saïga est avant tout un survivant de l'ère glaciaire, pendant laquelle il a dû traverser le Détroit de Behring pour se rendre en Amérique. Depuis environ 10 000 ans, il a disparu de l'Amérique et il vit maintenant dans les steppes arides d'Asie centrale (Russie, Kazakstan, Mongolie, etc.).
Il existe deux sous espèces :
La sous-espèce la plus abondante, encore qu'en très forte régression, est Saiga tatarica tatarica. Elle compte environs 50 000 individus, vivant dans 4 régions : la Kalmoukie, une république de la Fédération de Russie, ainsi que trois isolats du Kazakhstan. La sous-espèce la plus menacée est la Saiga tatarica mongolica, dont 750 individus vivent encore dans deux petites régions de Mongolie. La population est en effondrement rapide, du fait du braconnage et de la destruction de l'habitat. La population comptait ainsi près de 2 millions d'individus dans les années 1950, avant de se réduire aux quelques 50 000 animaux actuels.
C'est un herbivore se nourrissant principalement d'herbes salifères. Il lui arrive de manger quelques espèces de graminées (ou Poacées) que l'on retrouve dans les steppes d'Asie Centrale, des euphorbes, des alyssum, des plantes de la famille de la rhubarbe... Par ailleurs, les saïgas s'alimentent d'Artemisia dont la principale vertu est antiparasitaire. L'absence de cette plante dans les zoos d'Europe est néfaste aux saïgas qui ne se reproduisent pas ou peu et survivent difficilement.
Le saïga a fréquenté l'Europe occidentale lors de deux courtes périodes durant le Paléolithique :
- La première se situe aux alentours de 150 000 ans avant le présent, lors d'une phase climatique froide et sèche, où elle apparaît discrètement, en Charente et en Dordogne notamment.
La deuxième période de fréquentation de l'Europe occidentale, mieux documentée, se situe de 19 000 ans BP à 11 000 ans BP, avec un optimum entre 15 000 et 14 000 ans BP, c'est-à-dire durant la fin du Solutréen et la période magdalénienne. Cette période, riche en restes osseux de l'animal, est connue sous le nom d'« épisode à saïga »
Cet animal est un indicateur de climat froid et sec. Par ailleurs, les études paléoécologiques ont montré que cet animal semblait inféodé aux paysages aux reliefs doux et peu accidentés (petites collines). On le retrouve ainsi sur les départements de la Gironde, de la Charente et une partie de la Dordogne. En périphérie de cette zone densément peuplée, on la retrouve en moindres quantités, dans le Quercy, dans les Pyrénées, et même dans le Massif Central. Elle est connue également à Solutré (Saône-et-Loire), sur la côte cantabrique en Espagne et dans le Sud-est de la France.
L'antilope saïga fut un gibier pour les chasseurs magdaléniens au même titre que le renne ou le bouquetin. Certains sites préhistoriques attestent même, par la quantité de restes osseux de saïga, de pratiques de chasse spécialisée : Roc-de-Marcamps et Moulin Neuf en Gironde, la Chaire-à-Calvin en Charente.
Il est aussi présent, quoique extrêmement rare, dans le bestiaire de l'art préhistorique du Magdalénien. Pour l'art pariétal, les figurations connues de saïga sont celles de :
tous les trois en Dordogne (Sud-Ouest de la France) et pour l'art mobilier ce sont celles de :
- la grotte de l'Eléphant à Gourdan (Haute-Garonne),
- Peyrat (Dordogne),
- Montastruc à Bruniquel en Tarn-et-Garonne,
- la grotte de Bize dans l'Aude,
- la grotte d'Enlène à Montesquieu-Avantès en Ariège,
- la grotte de La Vache en Ariège,
- Gönnersdorf en Allemagne.
Toutes ces représentations sont des gravures.
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L'Ornithoryngue: Un animal pas comme les autres!!!
24/11/2009 16:44
L'Ornithorynque (Ornithorhynchus anatinus) est une petite espèce de mammifère semi-aquatique endémique de l'est de l'Australie, y compris en Tasmanie. C'est l'une des cinq espèces de l'ordre des monotrèmes, les seuls mammifères qui pondent des œufs au lieu de donner naissance à des petits vivants (les quatre autres espèces sont des échidnés). C'est la seule espèce survivante de la famille des Ornithorhynchidae et du genre Ornithorhynchus bien qu'un grand nombre de fragments d'espèces fossiles de cette famille et de ce genre aient été découverts. L'apparence bizarre de ce mammifère pondant des œufs, muni d'aiguillons venimeux, à bec de canard, à queue de castor, qui lui sert à la fois de gouvernail dans l'eau et de réserve de graisse, et à pattes de loutre a fortement surpris les premiers explorateurs qui l'ont découvert et bon nombre de naturalistes européens ont cru à une plaisanterie. C'est l'un des rares mammifères venimeux : le mâle porte un aiguillon sur les pattes postérieures qui peut libérer du venin capable d'infliger de vives douleurs à un être humain. Les traits originaux de l'ornithorynque en font un sujet d'études important pour connaître l'évolution des espèces animales et en ont fait un des symboles de l'Australie : il a été utilisé comme mascotte pour de nombreux évènements nationaux et il figure au verso de la pièce de 20 centimes (cents) australiens. Jusqu'au début du XXe siècle, il a été chassé pour sa fourrure mais il est protégé à l'heure actuelle. Bien que les programmes de reproduction en captivité aient eu un succès très limité et qu'il soit sensible aux effets de la pollution, l'espèce n'est pas encore considérée comme en danger.
Quand le premier ornithorynque fut découvert par les Européens en 1798, le gouverneur de Nouvelle-Galles du Sud, le capitaine John Hunter, en fit envoyer un pelage et des dessins en Grande-Bretagne. Les scientifiques britanniques furent d’abord persuadés qu’il s’agissait d’un canular. George Kearsley Shaw, qui fit la première description de l’animal dans le Naturalist’s Miscellany en 1799, expliquait qu’il était impossible de ne pas avoir de doute sur l’existence réelle de l’animal et Robert Knox croyait qu’il s’agissait d’un montage, œuvre d’un taxidermiste asiatique. Il pensait que quelqu’un avait cousu un bec de canard sur la fourrure d’un animal ressemblant à un castor et Shaw essaya même de trouver les points de couture. L’animal fut appelé Platypus par les Anglais, nom composite dérivé des mots grecs πλατύς (« platís », plat, large) et πους (« pois », pied), c’est à dire « pied plat ». Mais on s’aperçut très vite que ce nom avait déjà été utilisé pour désigner un invertébré, un coléoptère de la famille des Platypodidae, super-famille des Curculionoidea, par l’entomologiste Johann Friedrich Wilhelm Herbst (1743-1807). Un autre zoologiste, qui avait reçu également un animal de la part de Joseph Banks, Johann Friedrich Blumenbach, lui avait donné en parallèle un nom différent en 1800 : Ornithorhynchus paradoxus et il fut finalement appelé Ornithorhynchus anatinus. Le nom ornithorynque vient du grec ορνιθόρυνχος (« ornithorhynkhos »), qui signifie « à nez d’oiseau », et le nom d’espèce anatinus qui signifie « comme un canard » en latin. En 1803, le géologue Barthélemy Faujas de Saint-Fond utilise la graphie ornithoringue. Georges Cuvier, utilise la double orthographe ornithorhynque et ornithorinque dans le tome 3 des Leçons d’anatomie comparée, respectivement pages 107 et 243.Le monde entier ne découvrit l’ornithorynque qu’en 1939 quand le magazine National Geographic publia un article décrivant les efforts pour l’étudier et le maintenir en captivité (tâche très difficile : le premier lieu où il a survécu — et toujours un des seuls — est la réserve d'Healesville au Victoria). Bien peu de jeunes ont pu être élevés jusqu’à présent : la première portée née en captivité date de 1943.
C'est un animal nocturne et farouche, presque insaisissable. D'aspect mi-reptile mi-mammifère, l'ornithorynque est longtemps passé pour une chimère. Aujourd'hui, les scientifiques voient en lui un des animaux les mieux adaptés aux conditions de vie du continent australien. L'ornithorynque a un poids très variable allant de 0,7 à 2,4 kilogrammes, les mâles étant habituellement d'1/3 plus gros que les femelles. La taille totale, entre 40 et 50 centimètres en moyenne, varie considérablement d'une région à l'autre, sans qu'elle soit liée au climat. La queue mesure 12 cm et le bec 6 cm. Il ressemble à un castor par son pelage : le corps et la queue, larges et plats, sont couverts d'une fourrure marron qui emprisonne entre ses poils de l'air afin d'isoler l'animal du froid, sa queue stocke des réserves de graisse comme chez le diable de Tasmanie et certains moutons. Comme les canards, il est pourvu de pieds palmés surtout au niveau des pattes antérieures, avec une palmure dépassant les doigts qu'il utilise pour nager ou pour se déplacer sur des sols vaseux. Il peut partiellement replier sa palmure lorsqu'il se déplace sur sol sec ou qu'il doit utiliser ses griffes puissantes pour grimper sur les berges ou creuser sa tanière. Il est également pourvu d'un grand bec caoutchouteux lui ayant donné son surnom anglais « duck-billed platypus » (« pied plat à bec de canard »). Ce bec, gris-bleu, est surtout un organe sensoriel remontant sur le front, l'ouverture de la bouche se trouvant sur sa face inférieure ; les narines s'ouvrent à l'avant de la face supérieure, tandis que les yeux et les oreilles sont situés dans une rainure placée juste en arrière du bec. Cette rainure se referme lorsque l'animal nage, ce qui le rend sourd et aveugle dans l'eau. La cavité buccale est prolongée latéralement par des abajoues qui lui servent à stocker sa nourriture lorsqu'il chasse sous l'eau. La langue, charnue, a un renflement à sa partie postérieure qui peut obstruer complètement le fond de la bouche. L'animal émettrait un petit grognement lorsqu'il serait dérangé et l'on a rapporté l'émission de toute une série d'autres petits sons chez les spécimens en captivité mais selon d'autres témoignages, le seul bruit que ferait l'animal serait, lorsqu'il est gêné par de l'eau dans ses narines, de souffler fortement pour l'en chasser. L'ornithorynque est un animal homéotherme dont la température corporelle moyenne est de 31–32 °C contre 37 °C en moyenne chez les mammifères placentaires. Les recherches laissent à penser qu'il s'agit plus d'une adaptation progressive aux conditions environnementales du petit nombre de monotrèmes survivants plutôt que d'une caractéristique historique des monotrèmes.
Les jeunes ornithorynques ont des molaires à 3 cuspides qu'ils perdent au moment de quitter le nid et les adultes disposent de blocs de kératine pour les remplacer ; la mâchoire de l'ornithorynque est faite de façon différente de celle des autres mammifères et le muscle chargé de son ouverture est dissemblable. Comme chez les autres mammifères, les os de l'oreille moyenne sont incorporés au crâne plutôt que d'être situés à la base de la mâchoire comme chez les cynodontes et les autres synapsides ; cependant le conduit auditif externe s'ouvre à la base de la mâchoire. L'ornithorynque, comme les reptiles, a des os surnuméraires dans la ceinture scapulaire comprenant notamment une interclavicule qu'on ne retrouve pas chez les autres mammifères. Il a la démarche d'un reptile avec les pattes situées sur les côtés du corps au lieu d'être en-dessous comme chez les autres mammifères.. Les jeunes et les ornithorynques mâles portent des aiguillons venimeux de 15 millimètres de long aux chevilles reliés à une glande située dans la cuisse, appelée glande crurale. Cette glande n'est fonctionnelle que chez le mâle adulte. Son venin, formé de plusieurs enzymes, n'est pas mortel pour les humains, mais provoque d'importantes douleurs et des œdèmes qui peuvent durer plusieurs mois. Ils peuvent provoquer une paralysie des membres inférieurs pendant quelques jours. On ne connait pas d'antidote. On se contente de traiter par des analgésiques et un vaccin antitétanique si besoin. Le venin peut être mortel pour un chien ou pour de petits animaux domestiques par dépression respiratoire. Dans l'eau, il garde les yeux et les oreilles hermétiquement fermés et se sert de ses autres sens pour se diriger. Il détecte le plus souvent ses proies grâce à des détecteurs de champ électrique situés sur son bec . Les quatre pattes de l'ornithorynque sont palmées. Quand il nage, il se propulse par des battements alternatifs de ses pattes avant, sa queue et ses pattes postérieures l'aidant à se diriger, mais non à se propulser. Doublée de tissus adipeux, la fourrure de l'ornithorynque lui permet d'affronter les rivières les plus froides d'Australie. La durée moyenne de plongée de l'animal est de 31 à 35 secondes, la plus longue plongée observée a été de 138 secondes soit plus de deux minutes. L'animal plonge en moyenne à 1,3 mètre et un record à 8 mètres a été établi.Il supporte moins bien la chaleur. Après son bain, il aime regagner son terrier après avoir essuyé son pelage, qui fut jadis très prisé des pelletiers pour ses qualités isolantes et sa grande finesse.
L'ornithorynque est un animal semi-aquatique, vivant dans les petits cours d'eau sur un territoire s'étendant des régions froides des hautes terres de Tasmanie et des Alpes australiennes jusqu'aux forêts pluviales tropicales du Queensland côtier dans le bas de la péninsule du Cap York. À l'intérieur du pays, sa distribution n'est pas bien connue : il s'est éteint en Australie du sud (à l'exception d'une population introduite sur l'île Kangourou) ainsi que dans la plus grande partie du Bassin Murray-Darling, probablement à cause d'une dégradation de la qualité de l'eau provoquée par le défrichement et l'irrigation intensifs. Sa distribution est aléatoire le long des divers fleuves côtiers : il semble absent de certains cours d'eau relativement salubres alors qu'il se maintient dans d'autres passablement dégradés. En captivité, l'ornithorynque peut vivre jusqu'à vingt-et-un ans et dans la nature, son espérance de vie est comprise entre 10 et 15 ans. Le taux de mortalité naturelle est faible. Ses prédateurs naturels sont les serpents, les rats d'eau, les goannas et les rapaces. Il se peut que les ornithorynques soient rares dans le nord de l'Australie à cause des crocodiles. L'introduction des renards comme prédateurs des lapins semble être intervenue sur la baisse de la population sur le continent australien. C'est un animal essentiellement nocturne mais que l'on peut voir quelquefois en activité dans la journée surtout lorsque le ciel est couvert. Il vit sur les berges des cours d'eau et les zones ripariennes où il peut trouver à la fois sa nourriture dans et au bord de l'eau et son habitat en creusant des terriers pour se reposer et se reproduire.Un mâle peut ainsi posséder jusqu'à 7 kilomètres (4,4 miles) de berges qu'il partage avec 3 à 4 femelles.
L'ornithorynque est un animal carnivore qui a besoin de consommer tous les jours l'équivalent en nourriture de 20 % de son poids, ce qui lui demande de passer en moyenne 12 heures par jour dans l'eau pour cette activité. Il se nourrit de vers, de larves d'insectes, de crevettes d'eau douce et d'écrevisses qu'il déniche dans le lit des rivières en fourrageant avec son bec ou en les attrapant en nageant. Il les stocke dans ses bajoues et les mange ensuite sur le rivage.
Bien qu'il ait disparu d'Australie-Méridionale, l'actuel domaine de répartition de l'ornithorynque est globalement sensiblement comparable à celui qu'il occupait avant l'arrivée des Européens. En détail, il y a cependant quelques changements locaux et surtout une fragmentation de son habitat due aux modifications apportées par l'homme dans le milieu naturel où il évolue. On ne connait pas par contre avec beaucoup de précision le nombre d'individus vivants actuellement, ni l'évolution de la population au cours du temps et si l'on pense que cette population a diminué en nombre, on estime que c'est un animal encore assez abondant à l'heure actuelle. L'espèce a été chassée à grande échelle pour sa fourrure jusqu'au début du XXe siècle et a été protégée en 1905 dans toute l'Australie. Il y a eu ensuite la menace de disparition par la pêche au filet dans les cours d'eau jusque dans les années 1950. Il ne semble pas que l'ornithorynque soit en danger de disparition immédiate grâce aux mesures de protection qui ont été prises mais on ne connait pas les conséquences à long terme de la fragmentation de son habitat, de la création de barrages, de l'irrigation, de la pollution, du piégeage.. L'IUCN classe l'ornithorynque dans sa liste des espèces menacées comme « peu concerné ». Les principaux prédateurs de l'ornithorynque sont les dingos, les goannas, les serpents, les rakalis et les rapaces parmi la faune indigène. Les populations aborigènes les chassaient quelquefois pour leur nourriture mais leur viande n'est pas très appréciée. Avec l'arrivée des Européens qui les ont chassés pour leur fourrure sont apparus de nouveaux prédateurs comme le chien, le renard et le chat.
Il faut y ajouter la mortalité liée à la circulation automobile, à la pêche illégale au filet et aux déchets laissés dans la nature : ornithorynques noyés étouffés dans des sacs en plastique ou étranglés par des fils des filets de pêche.
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FOURRURE INTERNITE, ESPÈCES EN DANGER DE MORT!!!
23/11/2009 16:07
Qui sommes nous ?- Nous sommes un groupe d'associations, de militants et de citoyens unis contre la fourrure. Cet automne, nous défilerons pour dénoncer le massacre : chaque année, 50 000 000 d'animaux meurent pour que leur fourrure serve à confectionner des vêtements et des accessoires de mode. Cette période de l'année est propice à notre message puisque de nombreux magasins vont exposer de la fourrure et que le consommateur désinformé risque de se laisser tenter. En effet, derrière cette mode pouvant sembler glamour, se cache une industrie cupide, sanglante et cruelle.
    Réagissez, Fourrure Interdite.....
Merci de laissez vos commentaires!!!
Commentaire de AnneLise (24/11/2009 18:30) :
C'est sûre c'est révoltant la fourrure.
Est ce que se sont les animaux qui iraient se faire des manteaux en peau
humaine?
Il faut informer les gens, beaucoup ignorent encore les conditions dans
lesquels sont tués ou je dirais même torturés les animaux pour que les cons
s'en mettent plein les poches.
Les animaux sont encore vivant lorsqu'on leur enlève leur peau. Et ces
cons de tortionnaires laissent en outre agoniser ces pauvres bêtes
maintenant sans peau qui n'ont rien demandé...
C'est vraiment horrible!
Ensemble, on peut faire quelque chose.
On peut informer les femmes qui arborent fièrement leurs manteaux ou leurs
accessoires, leur expliquer les conditions dans lesquels les animaux sont
traités etc.
C'est bien Audrey que tu en ai parlé sur ton blog. Déjà, rien
qu'un article sur un blog peut faire bouger les choses. N'hésitez
pas à en parler à ceux qui ne connaissent pas la sordidité de leur chers
manteaux.
Si vous aimez les animaux, faites ça au moins pour eux!
http://anne-onyme.vip-blog.com
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