Un destin brisé par la captivité. Il aura connu la gloire hollywoodienne, trois films au succès planétaire. Mais si peu la liberté, la vraie. Étrange destin que celui de Keiko, alias Willy, l’orque le plus célèbre du monde. Il est capturé au large des côtes islandaises en 1979, sans doute âgé de 2 ou 3 ans, un âge très jeune pour les orques, il est à peine sevré. Sa vie désormais, c’est un bassin. Il est transféré dans un marineland islandais, nommé Keiko, qui veut dire "chanceux" en japonais. Puis il est vendu au Canada, puis au Mexique, avant d’être casté par l’équipe de "Sauvez Willy". Il joue le rôle d’un orque captif qui reprend sa liberté grâce à l’amour d’un enfant. Et la réalité va tenter de rejoindre la fiction. Une association se crée : "Free Willy", pour libérer l’orque, malmené par des conditions de captivité difficile (bassin trop petit, trop chaud, mauvaise hygiène). Poussé par la pression populaire, la Warner Bross met au point un programme pour remettre Keiko en liberté. Après une étape dans un aquarium de l’Oregon, Keiko débarque dans les eaux islandaises, ses eaux natales, en 1998. Un bassin est spécialement aménagé pour lui au large des îles Vestmann. Le défi est immense : Keiko, après 20 ans de captivité doit réapprendre à se nourrir seul, à chasser, à plonger dans des eaux très profondes. Le programme coûte 20 millions de dollars. Et est un semi-échec : Keiko dépend toujours des humains pour se nourrir, même si ses sorties hors de son enclos et ses rencontres avec d’autres orques sont fréquentes. Finalement, le 14 juillet 2002, Keiko ne revient pas dans son enclos. Il rejoint un groupe d’orques et traverse avec eux l’Atlantique Nord, suivi à la trace par une équipe de scientifiques grâce à une balise GPS. En septembre de la même année, Keiko réapparaît au regard des hommes en Norvège, dans un fjord de l’ouest du pays, à Skaalvik. Il a parcouru 1400km, après avoir vécu avec des groupes d’orques, chassé et communiqué avec eux. Mais dans ce fjord, Keiko reprend contact avec les humains. Et avec leurs maladies. L’orque tombe malade au printemps 2003, une pneumonie. Il meurt à 27 ans, le 12 septembre. Il était le 2ème mâle le plus âgé à avoir survécu en captivité. Il est enterré en Norvège.
Le rodéo est un sport inspiré du travail des cow-boys dans les ranchs. Il consiste en diverses épreuves comme la monte du taureau, la monte du cheval sauvage, la capture du veau au lasso et la course entre des tonneaux (barrel racing).
Au début, des cow-boys autochtones participaient à des compétitions locales dans les réserves et les villes des environs. Aujourd'hui, le rodéo attire des cow-boys et des athlètes professionnels, dont beaucoup qui excellaient dans d'autres sports et qui ont été particulièrement séduits par le rodéo. L'une des associations de rodéo sur taureau est la Professional Bull Riders (PBR). Bien que des règlements plus protecteurs aient été mis en place, les défenseurs des animaux critiquent ce sport qui brutalise les animaux, en particulier à cause de dispositifs qui leur font mal pour les exciter davantage.
L'une des épreuves du rodéo est la capture du veau au lasso. Il s'agit pour le compétiteur de lancer son lasso autour du cou d'un veau lancé au galop, de le faire tomber et de le ligoter en un minimum de temps. Cette épreuve du rodéo est inspirée par le travail des cow-boys lorsqu'ils devaient rattraper des veaux qui se perdaient où qui s'enfuyaient en pleine nature.
"Pauvre bête..."
La monte du cheval sauvage (nommé Bronco aux Etats-unis) est une autre épreuve du rodéo, dans laquelle le cavalier doit tenir huit secondes sur le dos d'un cheval complètement sauvage.
La monte du taureau est une autre épreuve du rodéo, dans laquelle le cavalier doit monter un taureau et se tenir en selle avec une seule main pendant huit secondes.
Je trouves ces jeux complétements débiles. Comment nous les humains peut on faire faire ça à des animaux sans défence. Les pauvres, ils préféraient etre en liberté au lieux de subir ça!!!