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Lion Ailé
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Lion Ailé

VIP-Blog de animalsworld
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  • Créé le : 01/11/2009 11:01
    Modifié : 15/08/2010 18:15

    Fille (22 ans)
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    Yann Arthus Bertrand

    03/02/2010 18:19

    Yann Arthus Bertrand


    Yann Arthus-Bertrand (né le 13 mars 1946 à Paris) est un photographe, reporter, réalisateur et écologiste français. Son livre La Terre vue du ciel (1994), dont a été tiré un documentaire en 2004, est un best-seller mondial.
    Yann Arthus-Bertrand est né le 13 mars 1946 à Paris dans une famille de médaillistes-joailliers réputés, la maison Arthus-Bertrand fondée par Claude Arthus-Bertrand et Michel-Ange Marion. Sa sœur Catherine est l'une de ses plus proches collaboratrices.
    En 1963, âgé de 17 ans, il devient assistant réalisateur puis acteur de cinéma. Il joue entre autres aux côtés de Michèle Morgan dans Dis-moi qui tuer d'Étienne Périer en 1965 et dans OSS 117 prend des vacances de Pierre Kalfon en 1970. En 1967, il abandonne le cinéma et dirige une réserve naturelle animalière dans le centre de la France, au parc animalier du château de Saint-Augustin, à Château-sur-Allier, dans l'Allier. En 1976, âgé de 30 ans, il part avec son épouse Anne, vivre au Kenya dans le parc national Massaï Mara pour étudier le comportement d’une famille de lions qu'il photographie chaque jour pendant trois ans. Il découvre alors les potentialités de la photographie aérienne de paysages depuis une montgolfière. Il utilise l’appareil photo pour consigner ses observations et prend conscience des possibilités de communiquer par ce moyen : le témoignage par l’image.
    En 1981, de retour en France, il publie le livre de photos Lions en 1983 et devient journaliste, reporter, photographe international spécialisé dans les grands reportages d'aventure, de sport, de nature, d'animaux et dans la photographie aérienne pour Paris Match et Géo. Il couvre dix rallyes Paris-Dakar, réalise chaque année le livre du tournoi de Roland-Garros et photographie le salon de l'agriculture annuel de Paris. Il réalise également un reportage sur Dian Fossey et ses gorilles des montagnes au Rwanda.
    En 1991, il crée l'agence Altitude, première agence de presse et banque d'images de photographie aérienne dans le monde qui réunit plus de 350 000 vues issues de plus d’une centaine de pays survolés par plus de 100 photographes.
    En 1994, avec le parrainage de l'Unesco, Yann Arthus-Bertrand entreprend de faire l'inventaire des plus beaux paysages du monde vus du ciel. Ce projet, intitulé La Terre vue du ciel, avec comme credo : « Témoigner de la beauté du monde et tenter de protéger la Terre », donnera naissance au livre du même nom, phénomène de l'édition, avec plus de 3 millions d'exemplaires vendus en 24 langues.
    L'exposition, gratuite, en plein air et en grand format, de ces photos, installée notamment sur les grilles du jardin du Luxembourg à Paris en 2000, ainsi qu'à Lyon, Rouen et Montréal, a été vue depuis dans plus de 110 villes par près de 120 millions de visiteurs. Dans le même esprit, en 2006, il a réalisé Vu du ciel, une série documentaire diffusée sur France 2 et publié aux éditions La Martinière L'Algérie vue du ciel.
    Il est avec Lucien Clergue l'un des deux photographes élus à l'Académie des Beaux-Arts à l'occasion de la création d'une nouvelle section consacrée à la photographie
    Yann Arthus-Bertrand anime Vu du Ciel, une émission de télévision sur France 2 consacrée à l'environnement. Il s'agit de l'émission documentaire la plus regardée du service public. Elle est diffusée dans 34 pays.

    Le 1er juillet 2005, il crée la fondation reconnue d'utilité publique GoodPlanet et met en place Action carbone, un programme destiné à compenser les émissions de gaz à effet de serre engendrées par ses propres activités photographiques aériennes. Ce programme s'est ensuite étendu pour accompagner le public et les entreprises dans la réduction de leur impact sur le climat en finançant des projets sur les énergies renouvelables, l’efficacité énergétique et la lutte contre la déforestation.
    Depuis la fondation s'est engagée dans plusieurs projets à destination des enfants (distribution de posters dans des écoles sur des thématiques de protection de l'environnement ; mise en place de GoodPlanet Junior, des séjours de vacances offerts à des enfants issus de milieux en difficultés dans des espaces protégés pour les sensibiliser l'éco-citoyenneté) ou d'un plus large public : exposition vidéo sur la diversité de l'humanité intitulée 6 Milliards d'Autres en 2009 au Grand Palais ; exposition photographique itinérante, intitulée Vivants, consacrée à l'impact de l'homme sur la nature ; ouverture de deux sites internets dédiés (GoodPlanet.info, site d'informations et de ressources sur l'environnement ; GoodPlanet Conso, site participatif non marchand encourageant à des pratiques plus respectueuses de l'environnement).
    Le 19 mars 2008, Yann Arthus-Bertrand s'est vu remettre le prix Georges-Pompidou qui récompense chaque année une personnalité de la culture française. Le 22 avril 2009, Yann Arthus-Bertrand a reçu le premier titre d'ambassadeur de bonne volonté du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE), ainsi que le prix Earth Champion pour son engagement en faveur de l'environnement et ses actions de sensibilisation à l'égard du public et des enfants.
    Charles Ruelle et Frédéric Neyrat dans la revue Labyrinthe accusent Yann Arthus-Bertrand de « dépolitiser la question de l’écologie par une morale-des-petits-gestes compatible avec les objectifs d’une Croissance sans limites ». Ces auteurs reprennent le qualificatif d’« éco-tartuffe » utilisé par la rédaction de La Décroissance pour qualifier des figures comme YAB, Nicolas Hulot, ou Albert de Monaco. Elle fustige notamment son rôle de photographe pour le Paris-Dakar pendant dix ans et son emploi régulier de l'hélicoptère, mais elle lui reproche surtout de s'allier aux multinationales « alors que les militants écologistes s'opposent depuis toujours à [leur] économie ». Au sein du débat croissance vs. décroissance Yann Arthus-Bertrand a pris position pour cette dernière en estimant que « seule la décroissance sauvera la planète ».
    Le Canard enchainé dresse pour sa part le portrait d'un chef d'entreprise avisé et souligne qu'« il n'y a pas plus consensuel, ou moins ennemi des conflits écolos que ce fils d'orfèvres renommés qu'on n'a jamais surpris à dénoncer des États pollueurs-voyous, des industriels naturicides ou des agricultueurs j'men-foutistes ». Dans l'émission Vu du Ciel consacrée à l'agriculture diffusée en 2008 sur France 2, Yann Arthus-Bertrand a cependant dénoncé le rôle de l'industrie et de l'agriculture productiviste dans la crise environnementale.

    Son premier long métrage, Home, produit par Luc Besson et financé par le groupe PPR, a été dévoilé le 5 juin 2009 à l'occasion de la Journée mondiale de l'environnement (organisée par l'ONU depuis 1972) et diffusé en version de 90 minutes sur France 2 à 20h35 puis en version longue sur le Champ-de-Mars à Paris. Il a également été diffusé au cinéma à tarif réduit et gratuitement sur Youtube. Il se veut un état des lieux de la planète et de l'attitude que l'humanité doit adopter pour y faire face.Le journal Le Monde parle d'un « envol réussi » pour le lancement du film.

    Plusieurs établissements scolaires ont pris le nom de Yann Arthus-Bertrand : les écoles primaires de Cysoing, de Noviant-aux-Prés, de Carentoir, de Villaines-sous-Bois et de Barjouville, les écoles maternelles de Cairanne et de Saint-Aignan-de-Cramesnil ainsi que le lycée agricole de Radinghem. Yann Arthus-Bertrand a déclaré à plusieurs reprises qu'il considérait ces nominations comme l'un des plus grands honneurs qui puisse lui être fait.
    Chevalier de la Légion d'honneur, peintre de la Marine (en 2005) et chevalier de l’Ordre du Mérite agricole, Yann Arthus-Bertrand a reçu le 17 juin 2008 les insignes d'officier de l'Ordre national du Mérite des mains du président Nicolas Sarkozy.En 2007, à la demande de l'association pyrénéenne de protection de l'ours « Pays de l'Ours - Adet », Yann Arthus-Bertrand est le parrain des oursons Pollen et Bambou nés dans les Pyrénées et d'origine slovène par leur mère Hvala.

    J'ador beaucoup se que fait Yann Arthus Bertrand...Ses emissions nous font réflichir à l'avenir de notre Planéte...

    Sauvons la Planéte et son Environnement avant qu'il ne soit trop tard, on peut encore la sauvée si tous le monde s'y met...



    coeurdorizonCommentaire de coeurdorizon (04/03/2022 11:26) :

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    La Méduse

    27/01/2010 08:37

    La Méduse



    Le terme méduse est un nom vernaculaire désignant les formes libres de nombreux groupes de cnidaires et s'opposent donc aux formes polypes, sessiles. Les méduses sont généralement des prédateurs, elles paralysent leurs proies grâce à leurs cnidocytes et peuvent posséder des structures sensorielles très élaborées comme des ocelles, rassemblées au sein des rhopalia. Certaines méduses appartenant à la classe des cubozoa peuvent être mortelles pour l'Homme. Dans le cycle de vie de certains groupes de cnidaires, la forme méduse peut alterner avec la phase polype, mais d'autres vivent uniquement à l'état de méduse. Les méduses sont par ailleurs considérées - au vu de résultats récents de phylogénie moléculaire - comme un caractère propre à l'un des deux groupes de cnidaires, appelé en conséquence Medusozoa. L'autre groupe étant celui des Anthozoa . Cependant l'origine évolutive exacte de la forme méduse est encore mal comprise.Les méduses sont apparues sur Terre il y a environ 600 millions d'années, bien avant les dinosaures.Les méduses font partie du compartiment planctonique. Elles passent toute leur vie en pleine eau. Elles sont composées de 97 % d'eau et de 3 % de matière sèche. Les mouvements des méduses sont lents ; elles sont entrainées par les courants marins. Presque toutes les méduses sont marines, seules de rares espèces vivent en eau douce, (env. 1 %). Une méduse est formée d'une calotte appelée ombrelle et d'un axe vertical (manubrium), fixé au centre de la face inférieure. Au bord de l'ombrelle sont attachées des tentacules. La contraction des muscles de l'ombrelle propulse la méduse par bonds.Les mers arctiques abritent des méduses de 2 m de diamètre dont les tentacules peuvent atteindre quarante mètres de longueur. Certaines méduses pourraient même atteindre trois mètres de diamètre, avec des tentacules de dix-huit mètres (c'est le cas pour la méduse Cyanea capillata).

    Il existe plusieurs centaines d'espèces de méduses, elles se répartissent en deux classes, elles-mêmes subdivisées en 7 ordres :

    • Les Hydroméduses : La classe des hydroméduses regroupe les méduses autonomes qui représentent l'organisation la plus simple ; elle a été subdivisée en deux ordres :
    1. Les Trachyméduses : Ce sont des méduses de petite taille, mesurant quelques centimètres de diamètre. Elles sont hémisphériques ou aplaties. Le nombre de leurs tentacules varie de 8 à 32. Les trachyméduses habitent généralement en haute mer et ne sont présentes dans les zones côtières que pendant les saisons froides, amenées par les courants. Le type Geryonia proboscidalis peut être rencontré en Méditerranée.
    2. Les Narcoméduses : ce sont des méduses dont l'organisation est plus complexe. Leur ombrelle est le plus souvent aplatie, lenticulaire ou discoïdale. Les narcoméduses sont peu nombreuses, mais abondantes en Méditerranée ; elles sont plus rares dans les mers tropicales et à peine représentées dans les mers froides. Leur taille varie en général de 3 à 30 mm de diamètre, et sont amenées près des rivages par les courants pendant la saison froide.
    • Les Acalèphes (ou Scyphoméduses) : ce sont des méduses urticantes et les plus évoluées. L'ombrelle est le plus souvent hémisphérique et sa musculature est bien développée. Les acalèphes sont généralement de grande taille et sont pélagiques. Elles appartiennent soit au plancton côtier, soit au plancton de haute mer. Les Acalèphes ont été répartis en cinq ordres :
    1. Les Charybdéides : méduses extrêmement urticantes de forme cubique possédant quatre tentacules creux. Ces méduses sont aussi parfois rangées dans un ordre à part, les cuboméduses.
    2. Les Coronates : méduses dont le bord de l'ombrelle est découpé en lobes au fond desquels sont insérés les tentacules. Les Coronates sont des espèces de haute mer des régions tropicales.
    3. Les Séméostomes : méduses possédant des tentacules très urticants. Aurelia aurita est une méduse séméostome de grande taille bien connue. Pelagia noctiluca est une méduse Séméostome de couleur rose chair phosphorescente.
    4. Les Rhizostomes : Ces méduses sont les plus évoluées, elles se nourrissent de petits animaux planctoniques. Les Rhizostomes abondent surtout dans les mers chaudes, mais on les trouve aussi dans les mers tempérées. Elles vivent en association avec des algues symbiotiques : les zooxanthelles.
    5. Les Lucernaires : méduses Scyphistomes n'ayant pas réalisé leurs strobilation et devenues sexuées. Il s'agit d'une forme néoténique. La Lucernaire est une sorte de méduse fixée par un pédoncule. Elles sont souvent accrochés à une zostère.
    Dans les écosystèmes marins, et plus rarement en eau douce ou saumâtre, les méduses jouent un rôle encore mal compris, mais probablement important dans la régulation des populations de poissons et de zooplancton.Très souvent fuie à cause de ses cellules urticantes, la méduse a néanmoins des prédateurs.
    Les deux plus grands consommateurs de méduses sont la Tortue Luth dont elle est le mets favori, et l'Anémone de mer. Le Thon rouge en est aussi très friand. Dans une moindre mesure, des crustacés apprécient le cadavre de certaines espèces. Certaines espèces peuvent manger des congénères plus petits qu'elles.
    L'Homme peut aussi être qualifié de prédateur, étant donné qu'elle est consommée dans des pays d'Asie tels la Chine ou le Japon.

    La Chironex: Une méduse extrenement dangereuse:

    La cuboméduse d'Australie (Chironex fleckeri) est une cuboméduse (méduses de la classe des cubozoa) de la famille des Chirodropidae, qui vit dans les moyennes profondeurs, dans les eaux du littoral australien et du sud-est asiatique. Aussi appelée « piqueur marin » ou « guêpe de mer », elle est la méduse la plus venimeuse connue à ce jour. Son venin est mortel, tout comme la physalie qui possède le venin le plus létal connu chez les cnidaires après Chironex fleckeri.Comme toutes méduses, ces méduses commencent leur vie en tant que planula, puis passent par le stade du polype.Les adultes se reproduisent dans les embouchures des rivières, avec la fin de l’été. Les planulas se transforment en polypes l’automne et au printemps en suivant les jeunes méduses, gagnent le large. Le corps adulte (cubique) de la cuboméduse peut être aussi gros qu’une pastèque, et elle possède 60 tentacules longs d’environ 4 mètres, pour 6 mm d’épaisseur.Elle se nourrit de petits poissons et de crevettes roses, dont la zone d’habitat principal se trouve justement être les plages touristiques (plus fréquemment dans le Queensland et le Territoire du nord). On ne la croise habituellement pas sur la Grande barrière de corail .Son principal prédateur est la tortue. Contre elle, la seule arme de la cuboméduse est sa vision. Elle possède en effet 4 « grappes » de 24 yeux qui lui permettent de former des images. On ne sait toutefois pas encore comment elles sont capables de traiter ces informations.
    Les cuboméduses ont tué environ 70 personnes pendant les 100 dernières années. Ses piqûres sont extrêmement douloureuses et son venin est capable de tuer un humain en quelques minutes. Ce venin s’attaque en même temps au système nerveux, au cœur et la peau.
    Naturellement, les cuboméduses ne tuent pas intentionnellement les humains. Au contraire, la cuboméduse n'ayant aucune envie de s'attaquer à plus gros qu'elle, il a été constaté à maintes reprises qu'elle tentera d'éviter un obstacle de taille dès qu'elle le détecte. Dans les cas de piqûres constatés, ce sont des baigneurs qui sont entrés involontairement en contact avec elle. Leurs nématocystes se déclenchent chimiquement lorsqu’ils sont en contact avec une substance qui se trouve sur les poissons, les crustacés et les humains.
    Un tentacule contient des millions de nématocystes, le venin pénètre donc sur une très large surface (on estime qu’il faut au minimum 3 mètres de tentacule pour délivrer une dose létale). Notons qu’un sérum antivenimeux très efficace existe.
    La petite taille des filaments urticants a pour conséquence qu’une simple tenue de protection suffit pour se prémunir des piqûres.

    La Méduse: Mythologie:

    Méduse (en grec ancien Μέδουσα / Médousa, de μέδω / médô, « commander, régner »), appelée aussi Gorgo, est, dans la mythologie grecque, l'une des trois Gorgones (avec Euryale et Sthéno), la seule à être mortelle.
    Fille de Phorcys et de Céto, et donc sœur des Grées, elle est une belle jeune fille dont Poséidon s'éprend . Séduite ou violée par le dieu dans un temple dédié à Athéna, elle est punie par la déesse qui la transforme en Gorgone. Ses cheveux deviennent des serpents et désormais son regard pétrifie tous ceux qui le croisent. (Selon certaines versions, c'est Aphroditequi, jalouse de sa chevelure et de sa beauté, change ses cheveux en serpents).A la demande de Polydecte, Persée la décapite, aidé selon des sources plus tardives par Hermès et Athéna. De son sang jaillissent ses deux fils, Chrysaor, père de Géryon, et le cheval ailé Pégase, sur lequel Persée s'enfuit, poursuivi par les autres Gorgones. Après l'avoir utilisée pour pétrifier Atlas, délivrer Andromède et tuer Polydecte qui retenait sa mère prisonnière, Persée offre à Athéna la tête de Méduse, que la déesse fixe sur son bouclier, l'égide. Pausanias livre une version historicisante du mythe. Pour lui, Méduse est une reine qui, après la mort de son père, a repris elle-même le sceptre, gouvernant ses sujets, près du lac Tritonide, en Libye. Elle a été tuée pendant la nuit au cours d'une campagne contre Persée, un prince péloponnésien.


    coeurdorizonCommentaire de coeurdorizon (04/03/2022 11:30) :

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    Le Pygargue

    27/01/2010 07:51

    Le Pygargue


    Le pygargue à tête blanche (Haliaeetus leucocephalus) est un rapace qui vit en Amérique du Nord. Malgré son nom anglais de Bald Eagle (« aigle chauve ») ou sa dénomination populaire d'« aigle à tête blanche », il ne s'agit pas d'un aigle mais d'un pygargue : il s'en distingue par son régime alimentaire, essentiellement composé de poissons, mais aussi par son bec massif et par le fait que ses pattes ne sont pas recouvertes de plumes jusqu'aux serres, l'un des caractères propres aux vrais aigles. Alors que l'aigle vit dans les massifs forestiers et les montagnes, le pygargue préfère les lacs, les rivières et les zones côtières, où il peut trouver sa nourriture. À ce titre, il est parfois nommé « aigle de mer ». Subdivisé en deux sous-espèces, il se rencontre de l'Alaska au nord du Mexique. Choisie comme emblème national par les États-Unis, l'espèce a été un temps menacée dans ce pays au XXe siècle, mais ce n'est plus le cas aujourd'hui.
    Le pygargue à tête blanche est un oiseau de grande taille : son corps mesure entre 71 et 96 centimètres pour un poids de 3 à 6,3 kilogrammes. Souvent appelé à tort "aigle royal", l'espèce présente un dimorphisme sexuel car les femelles sont 25 % plus grandes que les mâles. Aussi l'envergure maximale de l'oiseau varie de 168 centimètres pour le mâle à 244 pour la femelle. De même, cette dernière pèse environ 5,8 kilogrammes et le mâle 4,1.
    La taille varie également en fonction des régions : les plus petits spécimens vivent en Floride, au sud-est des États-Unis, où l'adulte mâle dépasse rarement les 2,3 kilogrammes pour une envergure de 1,8 mètres. Les pygargues à tête blanche les plus imposants se trouvent en Alaska, où les plus grands pèsent plus de 7,5 kilogrammes pour une envergure de plus de 2,4 mètres.On reconnaît facilement l'individu adulte à son plumage brun, sa tête et sa queue blanches, qu'il soit mâle ou femelle. Les jeunes sont complètement bruns sauf pour les pattes.Les yeux et les pattes du pygargue à tête blanche sont d'un jaune vif, tout comme son bec, crochu et massif. La queue de l'animal est moyennement longue et légèrement en forme de coin. Les pattes sont dépourvues de plumes. Les orteils sont courts et munis de puissantes serres qui permettent de saisir et d'immobiliser les proies, celle qui se trouve à l'arrière du talon étant utilisée pour les transpercer .Le plumage du jeune est brun avec des taches blanches jusqu'à ce que l'individu atteigne sa maturité sexuelle, vers l'âge de quatre ou cinq ans. On le distingue de l'aigle royal, également présent en Amérique du Nord, par son bec plus large, ses jambes dépourvues de plumes, ses ailes plates et son vol.Le pygargue à tête blanche vit généralement près des côtes maritimes, des cours d'eau, des lacs riches en poissons. Des études ont montré qu'il préfère les étendues d'eau d'une circonférence supérieure à 10 kilomètres.

    Pygargue à tête blanche

    Pygargue à tête blanche

    Pygargue à tête blanche

    Pygargue à tête blanche

    Ce rapace a besoin de grands arbres (conifères ou feuillus) pour se percher et faire son nid. Il choisit des forêts dont la canopée couvre de 20 à 60 % et se trouvant près d'un point d'eau.
    Le pygargue à tête blanche est sensible aux activités humaines et recherche les zones les plus sauvages. Selon les spécialistes, il vit à plus de 1,2 kilomètres des secteurs faiblement peuplés par l'Homme et à plus de 1,8 kilomètres des secteurs urbanisés ou moyennement occupés.
    L'aire de répartition naturelle du pygargue à tête blanche couvre la plus grande partie de l'Amérique du Nord, du Mexique au sud, au Canada et à l'Alaska au nord, en passant par les États-Unis. C'est la seule espèce de pygargue présente sur le continent nord-américain. L'oiseau peut vivre dans des milieux naturels très divers, des bayous de Louisiane au désert de Sonora, jusqu'aux forêts du Québec et de la Nouvelle-Angleterre. Ceux qui occupent le nord du continent américain migrent , alors que les autres restent toute l'année sur leur territoire de chasse.Les pygargues à tête blanche se rassemblent dans certains secteurs en hiver. Ainsi, de novembre à février, 1 000 à 2 000 oiseaux hivernent à Squamish, à mi-chemin entre Vancouver et Whistler. Ils se nourrissent de saumons dans les rivières Squamish et Cheakamus.
    En vol, le pygargue à tête blanche utilise les courants ascendants pour se déplacer. Il peut atteindre facilement les vitesses de 56 kilomètres par heure en vol plané à 70 en vol battu. Il peut voler à environ 50 kilomètres par heure pour attraper un poisson.
    Le régime alimentaire du pygargue à tête blanche est varié et opportuniste, même s'il mange principalement du poisson. Sur le littoral nord-ouest du Pacifique, les truites et les saumons composent l'essentiel de son alimentation. Localement, son régime peut toutefois s'écarter substantiellement du schéma général. Ainsi, en Colombie Britannique, les poissons n'entrent que pour 10 % dans son alimentation, alors que les invertébrés marins en représentent 45 % et les oiseaux 41 %. Dans certaines situations, notamment en hiver, il peut se nourrir de charognes d'ongulés, de baleines ou de poissons. Il lui arrive de prendre sa nourriture dans les campings, sur les aires de pique-nique et dans les décharges. Quand il pêche, il n'entre pas dans l'eau comme le balbuzard pêcheur, mais recherche les poissons morts ou mourants ou des poissons de surface. En plein vol, il tend son cou en avant, puis le rejette en arrière jusqu’à toucher son dos. Il capture poissons volants et anguilles en les retenant à l’aide de ses puissantes serres. Le pygargue à tête blanche peut nager s'il est menacé et il arrive qu'il se noie ou qu'il meurre d'hypothermie.
    Il peut aussi se nourrir d'oiseaux comme les grèbes, les pingouins, les mouettes, les canards, les foulques, les aigrettes et les oies ; il peut parfois s'attaquer à des proies plus importantes comme le Grand Héron ou le cygne, mais aussi à des mammifères comme les lapins, les lièvres, les ratons laveurs, les rats musqués, les loutres de mer et les faons. Les reptiles, amphibiens et crustacés (en particulier les crabes) complètent le régime alimentaire du pygargue à tête blanche. Dans les colonies d'oiseaux de mer, il peut exercer sa prédation sur les adultes et les poussins, mais aussi sur les œufs.
    Il utilise ses pattes aux serres acérées pour saisir et transporter ses proies. Lorsque la nourriture est insuffisante, le pygargue peut prendre la nourriture à d'autres prédateurs, comme le balbuzard pêcheur ou bien attaquer des animaux comme le coyote, le renard, le vautour ou la corneille. Il peut lui-même être attaqué par l'aigle royal. En principe solitaires, les individus se rassemblent en groupes en hiver là où la nourriture est abondante. C’est notamment le cas pendant la migration des saumons.


    coeurdorizonCommentaire de coeurdorizon (04/03/2022 11:32) :

    Très bon article, comme toujours. Il a le mérite de susciter le commentaire voyance mail rapide et gratuite

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